Namibie
Etosha Park… L’arche de Noé, Désert du Namib… Les dunes les plus anciennes de notre planète, Damaraland… Forêt pétrifié, paysage sorti de l’imagination de Tim Burton, Skeleton Coast… Entre brume et épaves, Kaokoland… Le désert des Himbas, Fish river canyon… La fracture terrestre d’un voyage comme au commencement du monde»
Amoureux de la nature… Celui qui nourrit véritablement le désir d’observer des animaux sauvages se doit de visiter la Namibie. Une mosaïque infinie de formes et de couleurs. Les paysages de Namibie comptent parmi les plus spectaculaires d’Afrique. Les paysages inspirés des grands peintres impressionnistes.
Formes insolites, étonnantes, discrètes ou grandioses, immenses lacs asséchés scintillent au nord dans la grande dépression blanche tant de spectacles à la limite du mirage qui dépasse notre imagination. A la découverte d’horizons insoupçonnés et de quelques uns de ses animaux parmi les plus rares vivant dans les dunes de le Skeleton Coast en Namibie… Les Lions du désert qui viennent dévorés baleines échoués et otaries.
Culminant à plus de 300 mètres de hauteur dans un désert vieux de 80 millions d’années les dunes de Sossusvlei sont réputées comme étant les plus hautes et les plus anciennes de notre planète
Mais ce désert n’en n’est pas totalement un, Oryx, springbok, autruches et autres animaux peuplent cette région du vide. Ici dans le plus vieux désert du monde la faune a su évoluer pour survivre malgré la pénurie d’eau.
La Skeleton Coast doit son nom aux carcasses blanchis des baleines échouées mais aussi aux nombreuses épaves de bateaux piégés par le brouillard fréquent sur cette bordure de l’Océan Atlantique et aux marins naufragés mort de soif au portes du désert.
Avec le Namib la côte des squelettes forment un désert côtier ininterrompu de 1600 kilomètres de long entre l’embouchure des fleuves Kunéné au nord et Orange au sud, cette côte parmi les plus poissonneuses de la planète cultive le paradoxe, d’un côté le désert synonyme de rareté et de l’autre l’océan porteur d’abondance, car ici il nourri une des plus grandes concentrations d’otaries à fourrure au monde. Il y aurait près d’un million de ses pinnipèdes entre le Cap et l’Angola.